L'échec critique de Duke Nukem Forever a déjà fait une première victime outre-Atlantique : The Redner Group, l'agence chargée des relations avec la presse américaine.
Pour avoir manqué de sang froid, en menaçant de blacklister certains médias suite aux critiques jugées "acerbes", le patron de l'agence Jim Redner a semé le trouble sur Twitter. Si ce genre de pratique s'est déjà vue dans un autre contexte, il est cependant rare qu'elle soit exposée au grand jour. Dans l'oeil du cyclone, la réaction de 2K Games ne s'est pas faite attendre. Malgré les excuses de Redner au nom du groupe, qui a tenu à mettre 2K hors de cause au sujet de propos tenus "sous le coup de l'émotion", l'éditeur a préféré mettre fin à toute collaboration sur-le-champ afin d'éteindre l'incendie.
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